Comme un petit goût de famille (Chris)

Depuis que Coralie m’a appris qu’Aaron était mon fils, je n’étais plus le même homme. J’étais changé, je n’étais pas le Christopher, qu’elle avait connu il y a quelques années, voir quelques semaines même. J’avais eu le choc de ma vie, apprendre que le fils de Co’ était le mien, mon sang c’était incroyable. Jamais, je dis bien jamais je n’aurais cru qu’un jour je serais papa et j’aurais cet amour pour un enfant. Moi, Coralie et Aaron, une vraie famille qui pouvait le croire ? Personne, même moi je ne le savais pas, je devais mis faire et je mis étais fait rapidement. J’avais arrêté la coke et les trafics, d’accords j’avais dû régler les derniers choses en cours. J’avais tout refilé à un « pote » qui m’avait aidé, lors de mes trafics en ville et ailleurs. Je lui avais dit que j’avais décroché, qu’aujourd’hui je ne pouvais pas me comporter comme le trafiquant que j’étais. Pour moi, il était temps de tourner la page, j’avais des responsabilités. Arrêter, c’était difficile j’en prends en grosse dose donc c’était galère. J’avais eu une crise de manque, j’avais pris un raille de coke. Mais, je n’en prends pas comme avant. Je diminuais en espérant, stopper définitivement. Ce soir, c’était spéciale je sortais avec ma famille officiellement pour la première fois. La soirée commencé à la plage, puis on finirait en tête à tête, même si j’avais eu un doute avant d’accepter. Me dire que je devais laisser mon fils chez Tom et Rebecca, le frère de Co’ j’avais du mal. Mais, je voulais lui faire confiance elle disait qu’elle avait l’habitude. Je rentrais à l’appart’, je devais me préparer je vis mon fils dans le salon, qui l’avait légèrement mis sens dessus-dessous. Mais, je mens fiche il fait ce qu’il veut se gamin, je ne veux rien lui céder. Il ignorait que j’étais son père, ont préférés faire ça avec douceur. Je le pris dans mes bras, déposant un baisé sur son front. Je vis la porte ouverte de la salle de bain, Co’ devait y être, habillé très sexy comme je l’aime. Appuyer contre la porte, je la regardais avec un sourire ravageur.

Ouah ! C’est pour moi que tu as sortis tout ça ?

Je posais ses plaques sur le meuble de salle de main, avant de la faire pivoter vers moi. Je posais mes mains sur ses hanches.

Oh non, pour mon amant du jeudi soir. Mais puisque t'es là...

Mon fils est en train de ruiner ton salon ou pas encore ?

Co’ a toujours était la plus belle femme à mes yeux, aucunes femmes ne lui arrivé à la cheville. Je n’avais eu d’yeux que pour elle, depuis le premier jour. Les autres femmes, je mens fou complètement elles n’étaient rien comparé à ma compagne. Elle avait su me faire comprendre, ce que voulais dire aimé. Moi, qui n’avait jamais aimé de femme elle m’avait fait changer d’avis. Elle me rendait complètement dingue, je n’aurais jamais pu vivre sans elle. Si Coralie serait partit définitivement d’ici, je serais devenu complètement fou ! Nous avons peut-être une relation hors du commun, mais c’est ça que j’aime chez nous on ne ressemble à aucun autre couple. Nous formons un couple, assez particulier mais je mens fou de ce que peuvent penser les gens. Ce n’est pas mon problème, en rentrant j’étais bien heureux de voir mon fils. Mes parents n’étaient pas au courant encore, qu’ils étaient grands-parents de toute façon ils ne me croiront pas. Au pire, ils me répondront que sait un enfant « raté » que j’ai encore mis une fille en cloque et qu’elle veut mon fric. C’est des idiots, ils ne m’ont jamais compris alors ils ne vont pas commençaient aujourd’hui. Ma petite sœur, elle serait la plus heureuse de toutes les sœurs d’apprendre qu’elle est tata. Libérant mes mains de la belle blonde, elle répondu qu’elle s’était préparer pour son amant du Jeudi soir. Mais vu que j’étais ici, je souris amusé elle m’embrassait je n’avais pas bougé mes mains. Nos regards s’échangeaient, on se comprenait je lisais en elle comme un livre ouvert.

La conversation se poursuivait sur notre fils, mais elle répondait « son » fils avait-il mit mon salon en ruine ou pas. Je me mis à rire doucement, je mens ficher de ça ce n’était pas grave. Qu’il fasse ce qu’il veut, Co’ le savait parfaitement.

Pas tout à fait, il reste les meubles debout. Puis, ici il fait ce qu’il veut je mens fou qu’il retourne l’appart’, c’est mon fils.

C'est TON fils, mais c'est MOI qui range. Donc en ce qui concerne le bordel qu'il met, je suis seul juge monsieur Petterson.

Bon Aaron, on commence à ranger mon coeur, parce qu'on doit s'habiller, et on est grave à la bourre.

Grave, grave maman ?

Grave, grave mon ange.

C’est que Corentin était mon fils, mais c’était Coralie qui dirigeais et qui rangeait toujours tout. Je me mis à rire en entendant ses paroles, car elle avait raison. Elle me m’embrassait une fois de plus, je descendais mes mains au niveau de son fessier, c’était encore une histoire qui allait finir mal Co’ savait si prendre avec moi, mais le petit été là. Nous devions redescendre la température, et nous devions partir pour cette fameuse soirée. Ma compagne rappeler notre fils, pour lui dire qu’il fallait commencer à ranger. Je le regardais, qui arrivait tout content sourire aux lèvres. Je le pris aux bras, oui c’était urgent et il fallait se grouiller. Nous allions être en retard, ce n’était pas la première fois, mais pour une fois il serait sympa d’être à l’heure.

Oui, on va être encore en retard.

Niveau langage ça me rappeler certaine personne, je le mis par terre. Je souriais, je regardais Co’ avec un air séducteur sourire aux coins des lèvres. Je lui volais un baisé, avant de suivre mon fils.

Viens, je t’aide sinon demain on va être encore là, et maman va crier.

Co’ crier, je voulais voir ça Aaron n’avait jamais entendu un cri de sa mère. Je m’activais avec mon fils, nous faisions plus les idiots qu’autre chose. Le rangement n’avancer pas vraiment, disons qu’on s’éclater et que j’aimais ça. J’étais heureux, oui, c’est dingue de dire ça mais avec Aaron j’étais un autre homme. Je devais m’habiller, nous n’étions pas encore partie sais moi qui vous le dit les amis !

C'est ça, je vais crier, je ne suis qu'une tortionnaire. Hein mes amours ?

Chris, va t'habiller, je fini, mais on va vraiment finir par nous refuser l'entrée. Tu sais ce que tu mets ?

Je ne me souviens pas d’avoir été à l’heure à une soirée ou même un rendez-vous, car oui, je pense que cela n’est jamais arrivé. Que ce soit seul ou avec Coralie, jamais nous avons étaient à l’heure c’était dingue. Certaine personne s’était habituer au fait que nous soyons toujours les derniers, mais sérieusement pour une fois il serait top d’être à l’heure, ou au plus une demie heure en retard. D’habitude ça dépasse les une heure de retard, nous avons souvent des trucs de dernières minute. La dernière fois, c’était un câlin de dernière minute ce qui nous avait fallu une heure et demie de retard. Ce soir il n’y aurait pas ce genre d’imprévu, j’avais laissé Co’ dans la salle de bain pour rejoindre mon fils qui devait ranger tout le Bazard dans le salon de l’appartement. Il faut avouer qu’il avait mis tout en dessus-dessous et qu’on ne pouvait pas laisser notre appart’ dans un tel état, mais bon ce gamin a besoin de jouer et ça ne me déranger pas. Je pris le rangement à la rigolade, nous faisions les idiots et nous n’étions pas prêt de terminé tout ça. Ma petit amie, ajoutée qu’en effet oui elle allait criait c’était une tortionnaire. Je me mis à rire, bien sûr elle avait tout d’une tortionnaire.

On pensait voir une vraie famille, Coralie semblée enfin heureuse et revivre depuis tout ce qu’il s’était passé depuis mon retour. Moi aussi, je me sentais bien mieux depuis tous ses chamboulements. Elle nous embrassait, avant de retourner à ses préparations dans la salle de bain. Nous on s’exécuter dans le salon, je regardais l’heure et ça passer tellement vite. C’est sûr, on allait être en retard et puis tempi ! L’odeur du parfum de Co’ se fit sentir dans la maison, un sourire sur mes lèvres elle savait que j’adorais ce parfum. Mon regard ce relevé vers la salle de bain, la voix de la blondinette se fit entendre je devais m’habillais. Oui, mais je n’avais pas encore sortie mes vêtements. Je ne savais pas quoi mettre, disons que je veux toujours être parfait et ne pas être en vrac. Pour moi, c’est super important d’être top et je ne veux pas décevoir Coralie.

Mais, non t’inquiète pas on rentrera je te dis ! Pour ce qui est des fringues, j’en sais rien je n’ai pas eu le temps de regarder. Tu veux que je mette quoi ?

Je me relever, Aaron était lui en train de ranger doucement évidemment il était petit. J’étais dos à la salle de bain à présent, je finissais de débarrassais le canapé. Quand, je sentis les mains de ma compagne passer autour de mon corps, j’arrêtais mon « activité ». Je me retournais vers elle, Co’ était sublime à tomber par terre, j’allais devoir faire attention. Moi qui suis jaloux, je ne supporterais pas voir un mec lui tourner autour. Je déposais mes lèvres sur les siennes, je caressais sa joue doucement.

Tu es magnifique mon cœur.

Bon, je devais m’activer car je n’étais pas prêt je laissais Co’ avec Aaron. Je me dirigeais vers la chambre, j’attrapais un jean, une chemise sombre une paire de chaussure noire. Voilà, c’était parfait j’enfilais mon jean, je retirais mon tee-shirt me retrouvant torse nu. Je sortis de la chambre avec ma chemise en main.

Celle-là te plait ?

Ca fait beaucoup de compliments en une soirée, tu progresses...

Elle est tâchée celle-là, regarde, sur le col...

Pourquoi pas la noire ? Avec ton bracelet en cuir. Moi je t'épouse quand tu veux quand t'es fringué comme ça...

Notre couple avait changé, depuis que j’avais appris pour Aaron que j’étais son père j’avais changé. Même envers ma petit ami, j’avais arrêté d’être violent envers elle tout ça n’était que du passé, puis nous étions bien tous les trois. J’avais arrêté mes trafics, j’avais mis tout cela loin de ma vie. Enfin, j’espérais que tout aller bien se passer, car dans ce milieu il suffit d’arrêter pour que les emmerdes arrivent. Mais, je suis certain d’avoir tout mis en ordres et que rien ne pouvait arriver à ma famille. Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais pas le souvenir de m’être comporter aussi bien avec Co’. Elle me fit d’ailleurs la remarque, que cela faisait beaucoup de compliments en une soirée, je progressais. Je pris cela à la rigolade, elle avait raison je n’avais jamais autant complimenté la jeune femme.

La petite blonde passait sa main dans ma nuque, nos regards s’échangeaient je savais qu’elle aimait ça. Je la connaissais comme personne, je lui volais un baisé avant de fuir dans la chambre. Il fallait que l’on se dépêche car je n’étais pas prêt encore, j’avais déjà trouvé le jean que j’allais mettre. C’était une bonne chose, mais pour la chemise aucune idée, je demandais conseil à Coralie. Je sortis alors de la chambre ne lui proposant une première chemise, que j’avais attrapée sur le cintre. Elle était tâchée, je la tournais évidemment c’était la signature de Co’ ça. Je la regardais avec un sourire en coin, je manquais de fringue. Il fallait que je fasse un peu le ménage et face le plein de vêtement.

On se demande à cause de qui.

Dis-je amusé, je la jetais sur mon lit je rangerais plutard. Enfin, je ne suis pas la fée du logis on verra cela plutard. Je soupirais, je n’avais pas d’idée jusqu’à ce que j’entende la voix de Coralie qui me conseillait la noire, ainsi que mon bracelet en cuir. Elle n’avait pas tort, parfait j’avais la tenue pour ce soir. Fringué ainsi, elle m’épousait je me laissais attirer vers elle. Je posais mes mains sur ses hanches, comme ça on n’allait pas avancer et finir pas ne pas aller à cette soirée.

Adjugé alors, pour le mariage on verra ça u peu plutard car on va vraiment louper la soirée et ça ne sera pas de ma faute.

Un dernier baisé, avant d’enfiler ma chemise, fignoler les dernières préparations. Pour la coiffure, le coiffé-décoiffé serait parfait et le parfum que m’offrait toujours Co’ à l’époque que je renouvelais à chaque fois que j’en avais plus. Je sortis de la salle de bain, je regardais Co’ et Aaron.

Je suis prêt !

Ce n'est qu'une vague excuse pour racheter des fringues.

On s'entraînera tout à l'heure pour la nuit de noce...

Tu restes près de nous chéri.

Une vague excuse pour racheter des fringues ? Oui, elle n’avait pas tort plus j’en ai mieux sait. Mais, je trouvais qu’il était temps, que je renouvelle tout ça car y avait du laissé aller. Malgré le fait d’être un mec, je faisais souvent les boutiques j’étais chiant alors j’étais obliger. Car, j’aimais voir ce que j’allais porter, puis c’est toute une histoire les fringues. Co’ le savait parfaitement, heureusement qu’elle était patiente et habituer à faire les boutiques. Car, il en fallait vraiment de la patience avec moi. Je n’allais pas m’acheter les fringues dans des boutiques bas prix, ce n’était pas possible pour moi je venais d’une famille huppée. Je n’avais jamais porté de vêtements de bas de gamme, ma compagne le savait parfaitement et devait vivre avec ça. Je lui avait offert des articles de luxe durant notre relation, Co’ avait eu le droit à des tas de choses de ma part. D’ailleurs, certaine chose devait être en bonne état car il en fallait pour abimer la maroquinerie de luxe par exemple.

Elle me glissait à l’œil, qu’on s’entrainement plutard pour notre nuit de noce. Je plongeais mon regard dans le sien, je ne pus m’empêcher de l’attirer vers moi et de l’embrasser passionnellement. Cette nuit s’annoncer mouvementer, nous devions laisser Aaron chez Tom et Rebecca après la soirée. Nous serions alors seul, en tête à tête l’appart’ pour nous seuls. Ma main autour de sa taille, j’approchais ma bouche de son oreille pour y chuchotait deux paroles.

Je m’occuperais de ça parfaitement…

Pas le temps de perdre du temps, il fallait partir nous étions prêt et il fallait se dépêcher à présent. Je pris les clés de la voiture, c’est moi qui conduit je n’aime pas être passager. C’est une habitude, on ne touche pas à la voiture quand je suis là, c’est moi le conducteur. Aaron en place, attaché car j’y tiens nous partions alors direction la plage. Il m’avait fallu quelque seconde pour y trouver une place sur le parking, y avait du monde ce soir évidemment. Coralie prit le petit par une main, je fermais la voiture et prit sa main libre. Vu la foule, il était préférable de garder mon fils près de moi. Sa mère, lui rappeler de rester à côté de nous. Nous traversions la foule, y avait de l’ambiance sauf que je voulais me retrouver avec ma copine tranquille, et notre fils. Nous prirent place sur le sable, ce gamin adore la plage, l’eau alors autant dire c’était le plus heureux ce soir. Il n’était pas le seul, car je l’étais aussi. Coralie dans mes bras, assis tous les deux sur le sable j’avais mes bras autour de son corps. Je regardais mon fils, c’était dingue encore une fois. Me dire que s’était mon fils, j’embrassais Co’ dans le cou.

On n’est pas bien, ici tous les trois ? Comme une vraie famille…

Si. Trop bien même... J'ai peur de perdre tout ça. Parfois ça m'angoisse...

Tu me quitteras pas, tu ne quitteras pas tout ça, pas vrai ?

Nous formions une belle famille, la famille parfaite qui vie bien et sans problème. Alors, qu’il y a quelques semaines, moi et Co’ c’était encore la guerre. Nous étions en train de nous arracher comme toujours, j’étais encore le trafiquant de Saint-Tropez et le dealer le plus connu des services de police. Enfin, ils ne m’ont jamais attrapé et ne m’attraperons alors jamais Car, j’ai arrêté officiellement mes embrouilles. Coralie dans mes bras, j’embrassais ma petite amie dans le cou en caressant doucement ses mains. Notre fils, qui jouait sur la plage et je l’aimais ce gamin. Il était devenu le seul enfant important à mes yeux, celui pour qui je donnerais tout, absolument tout ! Je fis remarquais cela à ma compagne, celle-ci me répondu que s’était vraie. Mais, cela lui faisait peur, peur de tout perdre. Je pouvais la comprendre, car elle me connaissait mais j’avais changé.

Tu n’as plus à avoir peur, je te promets tout ira bien à présent. J’ai Aaron, j’ai toi toutes mes conneries sont loin !

Jamais je n’aurais pensé dire ses mots, parlé ainsi avec Coralie. Moi, qui était un bad boy et un macho de première, je devenais le mec idéal pour Co’. Enfin, idéal je l’espère car je doutais parfois et avait peur de ne pas lui plaire ainsi. Toujours à douter, si elle aimait me voir comme ça ou comme avant, le mec plus bad boy ou mon côté père de famille. C’était fini les coups à répétitions, les gifles et les insultes tous les matins à longueur de journée. Même moi, je ne me reconnaissais pas à certain moment. J’avais gardé certaine chose du passé, mais plus la violence envers ma famille. Elle semblée paniqué, quand elle ajoutait que je ne la quitterais pas, pas tout ça. Elle voulait parlait, de ce que je faisais dans le passé.

Bien sûr que non, aujourd’hui j’ai tourné une page. J’ai changé, jamais tu entends ? Jamais, je ne te quitterais.

Je sais, j'ai juste du mal à m'y faire pour le moment, mais j'en suis très heureuse. Je suis heureuse avec toi.

Aaron, je ne suis pas sûre que tu ais le droit de manger du sable.

Ah bon ?

Ben non ^^

Jamais Co’ ne m’avais connu ainsi, le père de famille un homme qui aime son fils et sa femme. Qui se comporte normalement, comme tous les hommes. La phase Bad boy, homme violent avait disparu complétement. Elle devait penser que cela ne durerait pas, que j’allais replonger et recommencer mes conneries. Ma petite amie, ajoutait qu’elle avait juste du mal à s’y faire, mais elle était très heureuse. Avec moi, elle était heureuse et moi aussi. Quand, je la voyais ainsi ça pouvait que me rendre heureux. J’avais enfin une famille, je me disais alors que j’aurais pu tout perdre !

Je sais que tu as peur…peur que tout recommence, mais je te fais la promesse que j’ai arrêté. J’ai tourné la page, je ne peux plus me permettre mes conneries ! J’ai Aaron et Toi, je vais trouver un job. Même, si j’ignore dans quoi encore, je n’ai jamais rien foutu de ma vie.

Dis-je amusé, c’est vrai je n’avais jamais rien fais de ma vie. Plus jeune, j’étais le fils à papa et j’avais tout ce que je désirais, encore aujourd’hui mon compte en banc et blindé comme ma petite sœur. Après, je suis partie dans les deals et j’ai rien foutu d’autre. Aaron s’amuser sur le sable, je prolongeais le baisé de Coralie. Mais, nous avions notre fils à surveiller, il était petit donc beaucoup de bêtises. D’ailleurs, sa mère prit la parole « Aaron, je ne suis pas sûre que tu ais le droit de manger du sable. » « Ah bon ? » « Ben non ^^ » Je me mis à rire, il me faisait rire de gosse. Je me levais en attirant ma compagne vers moi. Je pris Aaron dans mes bras, en l’embrassant sur le front.

Maman à raison, le sable ça ne se mange pas mon bonhomme.

Je pris Co’ contre moi, passant mon bras autour de sa taille.

J'aimerais te parler de quelque-chose... Tom et moi on a un projet. On voudrait monter une écurie de moto, ça fait un moment que j'ai l'idée en tête et je me dis que depuis mon retour, ce serait faisable. Tom a les compétences pour la partie mécanique, toi tu l'aurais pour la gestion, les contacts, t'as tout un tas de numéros, on pourrait se servir de ton carnet d'adresse, tu serais associé à 33% comme chacun de nous.

Hé mais vu l'heure tu dois être affamé petit monstre !

Coralie semblée en même temps embêter, je ne comprenais pas pourquoi à vrai dire car jusqu’à présent tout aller pour le mieux. Elle m’expliquait qu’elle devait me parler, je fronçais les sourcils mes mains sur ses hanches. Elle et son frère jumeau Tom, avaient un projet ensemble. Ils voulaient monter ensemble, une écurie de moto, c’était un projet qu’ils avaient en tête depuis un moment. Cela daté de son retour, Tom avait des compétences dans la mécanique. Moi, je m’occuperais de la gestion, les contacts oui elle me connaissait par cœur et savait que les contacts ce n’est pas ce qu’il me manquait. Depuis que je connaissais Co’, c’était la toute première fois qu’elle m’associait à quelque chose.

C’est la première fois que tu me demande ce genre de chose, d’habitude tu ne me veux pas dans les affaires avec toi. Mais, je vais te dire une chose, je pense que ce projet est une très bonne idée. Puis, sait ton élément, tu as toujours aimé ça et tu es plutôt pas mal dans t’as combi.

Dis-je avec un sourire charmeur, déposant un baisé sur ses lèvres.

J’ai l’argent, alors je ne vois pas pourquoi je refuserais une telle offre. Puis, j’ai tout ce qu’il faut niveau contact.

Aaron, devait avoir faim mon fils était heureux. On pouvait le voir sur son visage, « Hé mais vu l'heure tu dois être affamé petit monstre ! »

Aller, viens mon bonhomme on va manger car j’avoue que tu dois être affamé.

Je ne veux pas d'argent, je te veux juste toi. Avec Tom on attend l'accord de crédit. Une fois qu'on l'aura on commence à rechercher un hangar. On s'installe, et on en entraîne des petits jeunes avant de nous lancer dans la vraie compétition.

Co’ ne voulait pas de mon argent, elle me voulait juste moi. Avec son frère, elle attendait l’accord du crédit, apparemment ils avaient déjà tout prévu. Pourtant, j’aurais pu investir, vu l’argent que j’ai sur mon compte bancaire. Sans compter, l’argent que j’avais de côté, grâce à mon ancien « boulot ». Une fois l’accord du crédit, ils commenceraient à recherche le hangar. Coralie avait déjà tout en tête, entrainé les jeunes puis faire des grandes compétitions. Je connaissais cela, évidemment Co’ en avait fait plus jeune et j’avais connu cette Coralie. Je la regardais, je remis sa mèche derrière l’oreille.

C’est comme tu veux, sincèrement j’ai tout ce qu’il faut pour ouvrir. Tu sais très bien, que ce n’est pas ce qu’il me manque. Pour le hangar, j’ai ce qu’il faut t’inquiète pas pour ça voyons.

Mais, Aaron avait faim et il nous le faisait savoir. Je me mis à rire, en le prenant dans mes bras direction le restaurant. Il fallait qu’il mange ce gamin, j’attirais ma compagne vers moi. Pour nous rendre au resto, ce soir c’était une soirée comme je ne l’avais jamais connu auparavant.

Tu connais un local ? Ca nous sauverait la vie pour le coup ça.

Comment tu te sens depuis que... que t'as tout arrêté ?

J’ai une vie bien différente que celle de ma compagne, Coralie n’as peut-être jamais manqué de rien. Mais, disons que je viens d’une famille très riche, que j’ai toujours ce que je souhaite, mon compte en banque montre beaucoup de zéro. Bref, elle sait parfaitement que le luxe c’est ma vie, jamais je ne pourrais me retrouver en bas de l’échelle. Quand, vous êtes un gosse, qui a grandi avec une cuillère en argent dans la bouche. Quand, vous avez des parents qui ne savent plus quoi faire du frique qu’ils ont dans leur compte en banque un peu partout dans le monde. Mais, les deals m’ont aussi fait sourire car j’en avais toujours plus.

C’est comme si on demandait à un bourge, d’aller travailler et être payer le smic. Je rigole déjà, je n’ai jamais eu moins que trois milles euro par mois. Je ne peux pas accepter un salaire misérable, puis je ne sais même si je suis capable de travailler. Eva dit que sait marrant, et que son salaire misérable l’aide à avoir un plus dans notre compte. Mais, elle dépense son salaire dans les fringues et les chaussures, une journée et son salaire d’ouvrier s’envole en fumée. Un peu comme moi, je n’ai pas de limite. J’annonçais à Co’, que je connaissais un lieu pour son projet. « Tu connais un local ? Ca nous sauverait la vie pour le coup ça. » Je souris en coin, je relevais son visage vers le mien pour y déposer un baisé rapide.

Bien sûr que je connais, un ami à mon père à un terrain dans les hauteurs. Il est a vendre, il sera parfait !

J’avais arrêté la dope, donc évidemment la conversation devez arriver à un moment ou un autre. Un accros comme moi, c’était très compliquer, mais je mis faisais. « Comment tu te sens depuis que... que t'as tout arrêté ? » Je détournais le regard de Coralie, je n’y avais plus touché c’est certain. Mais, c’était compliqué.

Disons que je me demande, comment tu as fait pour arrêter aussi rapidement. Je me sens bien, même si parfois j’ai des crises de manque. Tu vois, maintenant je n’ai pas envie car on est bien tous les trois. Mais, durant la journée…c’est plutôt compliquer.

C'est toi qui est parfait...

Je ne te dis pas que j'ai vécu ça comme un compte de fées. C'était dur, très dur...

Je te demande pas d'être parfait tout de suite, mais d'essayer d'y arriver Chris.

Quand tu te sens pas bien, tu m'appelles, peu importe quand, je débarque et on gère ça ensemble, OK ? On est un couple maintenant. On est deux...

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