Toi et moi, c'est foutu d'avance (Chris)

T'avais pas le droit Chris ! Putain tu m'avais juré ! Tu respectes vraiment rien, t'es le dernier des connards, je pensais que t'avais changé, mais tu changeras jamais Chris, t'es fini, t'es plus rien !

Je venais de rentré du parc, j’avais rencontré Tom Devos le frère jumeaux de Coralie. Je me disais qu’elle n’allait guère apprécier cela, mais je n’avais pas fait exprès. J’étais tombé sur son frère, par le pur des hasards. J’avais fini ma journée avec une grosse vente, l’un de mes hommes de main m’avait ramené une sacrée sommes. J’avais fait tout discrètement, je ne voulais pas que les flics tombe sur ça surtout avec le Lieutenant Perry dans les parages. Je sais tout, on ne peut rien me cacher et ce fouineur commencer à me taper sur le system nerveux ! J’avais promis à ma compagne, que j’allais arrêter mes conneries, elle devait venir habitait avec moi accompagné de son fils. Alors autant dire, je devais me tenir à carreaux et que Co’ ne remarque rien ! J’étais rentré à l’appart’, après une bonne douche je pris une bière et me mis devant la tête portable non loin de moi. J’entendais la porte claquée fortement, je tournais la tête et vue la charmante blonde. Elle était hors d’elle, je levais les yeux au ciel qu’avait-elle ? Coralie avait sûrement entendu quelque chose à mon sujet, ce qui l’avait mise en rogne une fois de plus contre moi. Elle lançait son sac sur le canapé en hurlant que je n’avais pas le droit, je posais ma bière sur la table basse. Ma compagne disait que je ne respectais rien, j’étais le pire des connards, pensant que j’avais changé quand elle avait entendu ses belles paroles. Mais, j’étais toujours le même selon elle j’étais fini, je n’étais plus rien. J’avais un air calme, pourtant j’étais en train de bouillir intérieurement. Je me levais doucement, je la regardais et pris l’un de ses poignets en le serrant fortement, un regard menaçant.

Tu te prends pour qui pour débarquer en hurlant ainsi ? Tu vas te calmer Co’, sinon ça va pas aller.

Je relâchais la jeune femme, je la regardais.

Explique-moi ce qu’il t’a encore mis dans un tel état.

Je reviens de chez les flics Chris ! J'ai été convoquée à cause de tes conneries ! Ils savent que tu trafiques, ils sont après toi, j'en ai marre de te couvrir, ça ne durera pas éternellement, met-toi bien ça dans la tête. C'est la dernière fois que ça arrive.

Et lâche-moi, tu me fais mal !

Je savais qu’il s’était passé quelque chose cette après-midi, Coralie été hors d’elle et je savais qu’elle cachait quelque chose. Enfin, caché non vue qu’elle se mit à table rapidement devant moi. Elle revenait de chez les flics, déjà je relevais la tête brutalement. Si elle avait dit la moindre chose, je ne me gênerais pas pour la faire plonger avec moi. Elle avait été convoquée par les flics à cause de mes conneries, j’eux un sourire amusé par son comportement. Les flics savaient parfaitement que je trafiquais, ils étaient après moi, j’avais raison ce Lieutenant Perry avait trop fouiné. Co’ en avait marre de me couvrir, marre de tout ça et elle me menaçait que cela me durerait pas. La dernière fois qu’elle me couvre ? Elle veut rire, je ne pouvais pas supporter ce qu’elle venait de dire. Je la tenais fortement, je la secouais pour la réveillée. Coralie, était en train de faire la pire des conneries.

Si tu l’ouvre, tu vas le regretter Co’ ! Tu n’as pas le droit, tu as bien compris. Tu sais parfaitement, que tu peux rien dire tu plongerais avec moi. Je ne te laisserais pas dehors, que t’as mère soit avocate je mens tape ! Tu sais que j’ai du monde qui sera témoigner, tu es autant dans la merde que moi.

Je la relâchais en la laissant tomber sur le canapé, elle disait que je lui avais fait mal. Je passais mes mains sur mon visage en remontant vers mes cheveux, je tournais le dos à la charmante blondinette. J’envoyais valser la bouteille de bière à travers la pièce, où nous étions.

Tu tiens trop à moi Co’, tu sais que je suis sérieux et que je suis capable du pire pour t’avoir à mes côtés.

Sauf qu'à ta différence, j'ignorais tout de tes trafics ici depuis que t'es revenu, ils n'ont rien contre moi, par contre toi... Ils ont un dossier épais comme ça sur toi mon grand, et je serais toi je commencerais à flipper.

Ne commence pas à me menacer Chris ! C'est fini tout ça, je ne suis plus la gamine que tu tiens par la peur ! Et méfie toi de mes sentiments, je ne suis plus toute seule, tu n'es plus tout ce que j'ai dans ma vie. C'est ça qui te fait chier au fond...

Je n’avais plus la même Coralie devant moi, elle ne m’avait jamais parlé ainsi avant. Comme osait-elle me dire ce genre de paroles, se montrer supérieur et me tenir tête comme elle venait de le faire. La jolie blonde ajouté qu’elle ignorait tout sur mes trafics, depuis que j’étais revenu. Par contre, les flics n’avaient absolument rien sur Coralie, par contre sur moi il avait un dossier énorme ! Elle me mettait sur mes gardes, que si elle était moi je commencerais à flipper. J’étais hors de moi, elle n’oserait jamais parler impossible ! Pourquoi me tenir tête ? Elle voulait me prouver quoi, en faisant ce genre de chose. Co’ savait parfaitement que je n’admettais pas ce genre de comportement de sa part. J’eux un rire en coin, moi avoir peur des flics. Il ne manquait plus que ça, de toute façon je n’avais rien à mon domicile. Qu’ils débarquent, ils n’auront absolument rien à mon sujet.

Tu n’avais rien à savoir, je t’ai dit que je te mêlerais plus à ses conneries ! Pour ce qui est des flics, qu’ils viennent ils ne trouveront rien ici. Et toi, tu n’as pas intérêt de parler mais tu le ne le feras pas. Je te connais par cœur, personne en te connais aussi bien que moi. Même ton cher frère, très caractériel par contre comme toi !

Je souris d’un air amusé, oui j’avais vu Tom Devos aujourd’hui et il avait fini par m’apprécier le jeune ! Ma compagne, ex, je ne savais pas où nous en étions me demandait d’arrêter mes menaces. Je n’écoute jamais ce que l’on me dit, surtout quand un caractère comme Co’ me tient autant tête. Elle disait ne plus être la gamine, que je ne tenais pas peur je levais les yeux. Elle était pathétique, à présent je n’étais plus ce qu’elle avait de plus cher. Oui, son fils Aaron et ça je ne lui en voulais pas. Non, le gamin n’avait rien demandé mais si je retrouvais le gars qui la mise en cloque, je le descends ! Je me rapprochais de Coralie, je posais mes mains sur son visage en la regardant.

Je ne t’en veux pa,s non Aaron n’as rien demandé ! Evidemment, il est plus important que moi, mais celui qui t’as mise en cloque/ Si je le retrouve, il va me connaitre !! Arrête de jouer les dures, les femmes fortes et supérieures, tu sais comme moi que tu parles, mais tu ne feras rien ! RIEN Co’ !

Je t'interdis de t'approcher de mon frère ! Tu laisses ma famille en dehors de tout ça ! Tout est de ta faute Chris, si tu n'avais pas tout foutu en l'air en reprenant tes trafics, on n'en serait pas là.

Alors prends toi y de la plus violente des manières, tire toi une balle, parce que le responsable, c'est toi...

Je savais parfaitement que la nouvelle allée mettre Coralie hors d’elle, toucher à son frère était insupportable pour elle. Je venais de toucher le point sensible, sauf que jamais depuis que je la connais. Elle avait réagis ainsi, comment avait-elle osait me toucher comme elle venait de le faire, sans prendre à moi physiquement. Coralie avait perdu la tête, était-elle devenue complètement folle. Complètement hors d’elle, la charmante blonde me poussait contre le mur de mon appartement. Jamais elle n’avait était violente, heureusement mais elle allait était trop loin et allée regretter ce qu’elle venait de faire. Jamais, elle n’aurait dû sent prendre à moi réagir ainsi envers moi. Coralie, venez d’y aller fort et savait parfaitement que tout aller mal finir à partir de maintenant. Elle hurlait qu’elle m’interdisait de toucher à son frère ! Je devais laisser sa famille en dehors de tout ça, sauf que je mens taper de sa famille. Son frère était juste là au mauvais endroit et au mauvais moment, il était à présent dans ma ligne de mire et elle le savait parfaitement ! Elle mettait la faute sur mon dos, je n’avais aucun regret j’en avais jamais eu d’ailleurs. Si je n’avais pas repris les trafics, nous n’en serions pas là. Son frère, Elle, bref j’avais ce qu’il me fallait pour agir et à présent rien ne m’arrêter. Portant sa main à mon cou, elle me murmurait à l’oreille de mis prendre de la plus violente des manières. C’était à présent à moi de lui faire comprendre que l’on ne joue pas, lui rafraichir comme il se doit la mémoire et la faire redescendre sur terre une bonne fois pour toute. Car, je veux bien passer certaine chose mais elle venait de toucher le font. Sans qu’elle n’est le temps de rien voir, je lui mis une gifle comme jamais. D’ailleurs, la blondinette avait fini au sol je la regardais de haut.

Ne t’avise plus jamais à faire ça Co’ !! PLUS JAMAIS !! Sinon, tu sais ce que je suis capable de faire.

J’avais été plus que violent, je ne l’avais jamais était autant envers elle. D’ailleurs, je devenais plus tendre mais pas aujourd‘hui. Coralie, venez de me mettre hors de moi elle avait changé et beaucoup trop à mes yeux ! Je la relevais à bout de bras pour la mettre sur le canapé. Je mens prenez alors au père de son fils, j'ignorais qui était le salop qui avait mise Coralie en cloque. Mais, elle hurlait que j'étais le coupable...Coupable de quoi? Je me demandais si j'avais bien compris, ou si je commençais à devenir parano. Mais, je laissais un moment de pose plus de bruit juste les sanglots de Coralie...Aaron avait trois ans? Donc, je la regardais.

Responsable de quoi Co'? Vas-y crache le morceau!!.

C'est toi le père d'Aaron Chris ! Comment tu peux croire que je te trompais ? T'étais le seul dans ma vie, il a 3 ans, ça aurait dû t'interpeller, s'il n'y avait pas que toi qui comptait...

J’aurais dû faire le rapprochement, pourtant cela ne m’était jamais venu à la tête. Même une seconde, je n’aurais jamais pensé à ce qu’elle m’annonce ce genre de chose. J’étais hors de moi, pourtant quand j’entendais ses paroles je me calmer illico presto. Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais l’impression que ma vie prenez une toute autre tournure. Que, ma vie venez de basculer en une seconde, Coralie était en larme sur le canapé recroquevillé sur elle-même. Pourtant, j’avais eu des crises de nerfs envers Coralie, mais jamais je ne m’étais laissé emporter autant. J’avais mis des gifles à Coralie, mais aussi violent jamais. Pourtant, quand elle me balançait en plein visage en pleure et à bout de force, que le petite Aaron était mon fils. Je tombais des nus, je regardais Co’ droit dans les yeux les bras le long du corps. Je pensais avoir mal entendu, pourtant c’était bien ce qu’elle venait de dire de sa propre bouche. La jolie blonde, me demandait comment j’avais pu penser une minute qu’elle m’avait trompé. J’étais le seul dans sa vie, le seul homme qu’elle aime et avec qui elle se sent bien, malgré le fait que je sois ainsi. Il a trois ans, ça aurait dû m’interpeler, s’il n’y avait pas que moi qui comptais, Putain !! Elle avait raison, j’avais était aveugle sur le coup comment passer à côté de ça. Je me rapprochais d’elle, je vis Co’ mettre ses bras et ses mains devant son visage. Elle avait peur que je la tape, mais je n’en avais pas du tout l’intention bien au contraire. Je me mis à ses côtés, complètement vidé et perdu…Je passais mes bras autour d’elle. Je déposais un baisé sur sa tête, je changeais de réaction en quelque seconde.

Aaron est mon fils ? J’ai était complètement aveugle, comment j’ai pu passer à côté de ça !

Je commençais à réagir, me rendre compte que quelque chose cloché chez moi. Pourtant, je me disais que je ne changerais jamais, mais je ne toucherais jamais à mon fils. Non, je ne suis pas ce salop avec les enfants.

J’ai encore fait le con, je le sais….Pourquoi tu m’a rien dit avant ?

Pour ça Chris ! Pour tes accès de colère, pour tes crises, prends-toi en à moi autant que tu veux, mais pas à lui...

J’avais ma réponse, pourquoi ne m’avait-elle rien dit avant ? C’était pour ça, j’avais compris j’étais trop violent elle ne voulait pas qu’Aaron est lui aussi le droit à ça. Mais, une chose, jamais je ne toucherais à notre fils ni aucun enfant d’ailleurs. Je ne suis pas ainsi, même avec Coralie je ne comprenais pas pourquoi ça avait fini comme ça aujourd’hui. Je n’étais pas tendre, mais pas aussi violent. Je ne comprenais pas. Elle me répondait, que s’était pour mes accès de colère, mes crises, je pouvais mens prendre à elle tant que je veux, mais à la lui…Je me redressais pour la regarder. J’avais été fort, la preuve sur son visage. Je commençais à regretter, alors qu’il y a cinq minutes c’était le contraire. Oui, car je pensais qu’elle m’avait trompé, oublier dans les bras d’un autre homme que moi. Je relevais son visage avec mon doigt vers moi, nos regards l’un dans l’autres.

Non, ni lui ni toi…Jamais, je ne toucherais à un enfant Co’.

Nous étions là, dans le canapé comme un vrai petit couple qui file le parfait amour. Alors, que l’on se déchire, on s’aime, on se déteste tout se mélange. Je commencer à tout remettre en question, mon fils, ma vie…je ne pouvais plus déconner maintenant.

Je vais en finir avec ça, d’accords ? On reprendra tout à zéro.

Je me voyais déjà avec notre fils, Co’ une maison moi un vrai job et clean. Plus de trafics, de drogue et tout ce qu’il sent suit. Tout ça, ne sera que du passé et notre vie sera parfaite ! Je ne manque pas d’argent, pas toujours grâce au trafic, non, mes vieux m’ont laissé un sacré pactole à moi et ma petite sœur.

T'es pas capable de te contenir Chris, ça fini toujours pareil. Je prends une branlée et j'y reviens...

T'arrêterais la came ? Tu peux pas Chris, t'en prends trop...

C’est vrai que je m’emportais facilement, j’étais violent et Coralie en avait payé les pots cassés. Elle avait peur que je réagisse pareil avec Aaron, sauf que je ne m’emporterais jamais contre mon fils. Je n’étais pas violent avec les enfants, même si je n’en avais jamais côtoyé je ne pouvais pas frapper un enfant violemment, même tout cours. Co’ ajoutait, que s’était toujours pareil elle en prenait une et ce n’est pas pour autant qu’elle partait. Bien au contraire, les larmes coulées sur ses joues la jolie blonde était en larmes. Je l’avais prise contre moi, caressant ses longs cheveux blonds. Je lui promis d’arrêter mes conneries, stopper mes trafics et la drogue. Je ne pouvais pas continuer, j’avais un fils il ne pouvait pas vivre dans ce genre de milieu. Sauf, que la jeune femme n’y croyait plus à présent, je me droguais depuis trop longtemps. Je prenais trop de coke, pour arrêter ainsi, elle ne le disait pas. Mais, j’avais mes clients j’avais du monde derrière qui attendait mon retour pour recommencer là où nous avions arrêté il y a 3 ans.

Non, non, je peux le faire tout comme toi. Je serais clean, Aaron doit avoir un père clean pas défoncé à longueur de journée. Je me démerderais, mais je vais arrêter tout ça. On reprendra une vie normale, tous les trois d’accords.

Je la regardais, je caressais sa joue doucement. J’embrassais la jeune femme, posant mon front contre le sien.

J'ai rien dit aux flics Chris, j'te le jure.

Coralie s’était blotti contre moi une fois de plus, ses mains sur mes poignets remontant jusqu’à mes cheveux. Elle m’assurait avoir rien dit aux flics, elle n’était pas une balance je le savais parfaitement. Même, si elle m’avait mis hors de moi, mais j’étais obliger je ne voulais pas me retrouver derrière les barreaux. Il «était impossible pur moi, de finir dans une cage et ne plus voir Co’ et mon fils. Je la regardais, mon regard plongé dans le sien, tout allé s’arranger j’en étais certain. Je serais arranger les affaires en cours, personne n’aurait ma peau il en faut avant de m’avoir. Mais, je ne devais de fric à personne, puis les clients ils iraient chez les dealers à côté. Je mens taper, j’arrangerais cela en temps et en heure, ce n’était question de temps.

Je le sais, je ne doute pas sur ça je sais parfaitement que tu ne diras jamais rien.

Aaron sort dans une demie heure...

Le temps passé vite, il était bientôt l’heure pour ma compagne de quitter mon domicile. Aaron allé sortir de l’école, je devais la laisser partir mais j’avais hâte de la retrouver. Je me levais du canapé où je me trouvais. Je proposais à Co’ de se lever, je lui tendis la main. Pour ma part, j’avais une personne à voir ma chère petite sœur Eva. Elle bossait dans un bar en tant que serveuse, en même temps je discuterais avec elle. Ma petite sœur et moi étions proches, Coralie en avait entendu parler. Je ne lui avais rien par contre sur Eva, je ne préférais pas pour le moment.

Vas-y alors, il est presque l’heure.

(tu peux clore ^^ stp]