Les retrouvailles particulières [Coralie]

Ah Saint-Tropez, la ville des stars et des paillettes une ville où j’ai vu le jour et où tout a commencé. Mais, j’ai quitté la presqu’île depuis trois années maintenant, je me souviens de ce départ assez. Précipiter. Personne ne savait où je me trouvais, d’ailleurs encore aujourd’hui pour certain c’est le mystère. Il pense que je suis mort, plus de portable, plus d’adresse j’ai absolument coupé les ponts avec le continent. J’aime la Corse, mais ma ville me manque et je dois reprendre le flambeau de la ville, les affaires s’arrête pour moi à Bonifacio. J’ai pris le bateau tard dans la nuit, je voulais arriver le plutôt possible sur la côté. J’avais passé la nuit sur le pont, réfléchir à ce que j’allais faire et recroiser certaine personne. Mes parents, mens voulait terriblement et même ne voulait plus entendre parler de moi. J’étais la honte de la famille, un délinquant et un bon à rien c’était leurs paroles et moi je rigolais. Je n’avais pas besoin de leur fric, j’en avais tellement et si mes souvenirs sont bons je leur en avais emprunté une bonne part avant de partir.

Le jour ce levé doucement, j’arriver au port le paquebot accoster au port mon sac sur l’épaule je regardais l’horizon. Je souriais, je voyais déjà les regards surpris et d’autre me détester d’être de retour. Je descendais rapidement du bateau, je posais enfin les pieds sur ma terre natale et ma ville. Toujours aussi belle et chaleureuse, le soleil se lever un petit air frais frappé mon corps. La vie s’éveillée avec douceur, j’avais vu ce genre de chose de nombreuses fois et cela m’avait manqué terriblement ! Je marchais sur le port, il y en a une que j’avais laissée et abandonnée. Coralie Devos, je me souviens très bien de la petite blonde sexy qu’elle était. Elle était sous mon contrôle, elle ne me refusé jamais rien et disait amen à tout sans jamais dire non. La jeune femme n’aurait jamais osé dire ce mot, elle savait que je n’aurais pas accepté ce comportement et que tout cela aurait mal fini. Mais, je l’aimais sincèrement je pense que sait d’ailleurs la seule femme que j’ai vraiment aimé. Les autres, ne sont que des maîtresses sans intérêt qui me serve pour les affaires. Elles ne sont pas intéressante ses filles. Ce sont des idiotes, Coralie devait me haïr de l’avoir abandonnée sans l’avertir. Depuis mon départ de la ville, je n’ai jamais donné signe de vie, elle ignore ce que je suis devenue. Bon dans le font, je n’ai pas changé même d’une miette. Je suis toujours le dealer qu’elle connait, le mec à femme et qui a le pouvoir sur de nombreuses personnes et surtout l’agence féminine. Je relevais la tête, je n’avais pas perdu mon sourire et qui je vis devant moi. Elle était à quelques mètres, ses beaux cheveux longs et blonds son visage parfait. Elle n’avait pas changé, toujours aussi belle et rayonnante qu’au premier jour. Je contournais la ruelle, qui redescendais au port et me posta derrière elle. Je passais délicatement mes mains autour de sa taille.

Bonjour Coralie…

Murmurais-je à son oreille, avant de la faire pivoter face à moi.

Chris...

Qu'est-ce-que tu fais là ? On n'a plus rien à voir ensemble... C'est fini Chris. C'est fini...

Je ne pensais pas une seconde que je tomberais sur elle le jour de mon retour, si on me l’avait dit je ne l’aurais pas cru. Il y a des tas de personnes à Saint-Tropez, j’aurais pu croiser des amis, mes parents mais non il fallait que je tombe sur Coralie. La seule femme que j’ai pu aimer jusqu’à aujourd’hui, elle était toujours la même sa tenue vestimentaire elle ne s’était jamais pris la tête. Elle était parfaite comme elle était, son comportement mais elle semblait ailleurs. Comme perdu dans ses pensées, j’avais alors profité de la situation pour m’approcher par surprise. J’ai eu de nombreuses femmes dans ma vie, mais aucune ne pouvait arriver à la cheville de la jolie blonde. J’avais enlacé mon ex-compagne, qui allait redevenir je pense ma petite amie. Je savais qu’elle allait me reconnaitre, je n’avais pas oublié ses mots Coralie disait qu’elle pouvait me reconnaitre peu importe la situation. Elle n’avait pas besoin de m’avoir en face d’elle, pour savoir que s’était moi nous avions une relation vraiment différente de celle que l’on peut voir tous les jours. C’était passionnel, personne dans ce monde ne pouvait comprendre notre amour. Elle avait laissé tomber sa cigarette au sol, quand elle sentit mon contact sur son corps menu. Mon prénom fut prononcé d’une manière qui m’avait manqué, mais à la fois surprise. Je déposais un doux baisé sur son cou, j’avais dégageais ses cheveux blonds. Je la plaçais alors face à moi, ses yeux plongés dans les miens, j’eux un petit sourire en coin. Elle devait ment vouloir terriblement, mais d’ici quelques heures elle oublierait et tout redeviendrait comme avant. Nos retrouvailles, nos sorties, nos soirées arrosé mais surtout les deals et la coke à tout va ! Je n’avais pas changé, je l’avais dit j’étais resté le même j’étais simplement de retour en ville. Trois ans après mon départ. Mais, son visage changé ses sourcils froncé un air « sérieux », elle me repoussait sans être violente. Elle me demandait ce que je faisais ici, nous n’avions plus rien à voir ensemble, c’était ce qu’elle pensait. Car, je sais très bien que je lui avais manqué, que ma belle Coralie m’attendait et ne m’avais jamais oublié, si ce n’est même quelques heures ! Elle criait que s’était fini, j’eux un léger rire amusé elle était toujours comme ça. Co’ n’as jamais était une bonne actrice, elle ne savait pas mentir avec moi je la connaissais comme personne. Je pense même, que sa chère petite maman ne la connaissait pas aussi bien que moi qu’elle ignorait, certaine chose que je savais. Je passais sa mèche derrière son oreille, en passant doucement ma main sur sa joue.

Tu n’aies pas bonne comédienne chérie, tu le sais très bien. Je suis désolé d’être partie…

Je pris son visage entre mes mains, en déposant un baisé sur ses lèvres.

Tu ne sais pas me mentir, je sais que tu m’attends depuis toutes ses années.

Arrête Chris, arrête...

Non, j'ai arrêté de t'attendre, t'es parti, tu m'as rien laissé sauf des regrets. Toi et moi ça marche pas, t'es pas quelqu'un de bien. Moi non plus...

Je faisais d’elle ma marionnette, ce que je veux et elle ne résistait jamais bien longtemps à ce que je lui demandais de faire. Nous étions à nous réuni, nous deux ensemble à Saint-Tropez c’est ce qu’elle attendait. Coralie ne pouvait nier, je ne la croyais pas et elle mentait très mal. Elle voulait montrer qu’elle était forte, changée mais ce n’était pas le cas. J’avais toujours devant moi, la jolie blondinette que j’avais connu, fragile et folle amoures de moi, par amour elle avait fait ce que je lui avais demandé. La drogue, l’alcool, les sorties et toutes les magouilles que j’avais en cours à l’époque. Co’ était capable de tout pour moi, jamais elle ne ferait quelque chose contre moi. La jeune femme tenez trop à moi, pour me faire mettre au troue où je ne sais ou. Elle se durcissait et me demandait d’arrêter, je la regardais avec un regard froid. Elle n’avait pas le droit, jamais elle ne m’avait parlé ainsi et je lui interdisais de me répondre comme elle venait de le faire. J’avais serré ma main au niveau de la nuque, je ne disais rien elle allait vite comprendre où je voulais en venir.

J’avais embrassé alors la jeune femme, ses mains remontée jusqu’à ma nuque. Je sentais le contact de sa peau sur la mienne, elle semblait apprécier ce moment que je lui offrais. Coralie se retiré de l’étreinte de mes doigts, la tête baissée elle disait avoir arrêté de m’attendre. J’étais partie, je n’avais laissé que des regrets, s’était ses paroles. Ce genre de comportement, je n’aime pas et elle le sait parfaitement ! Elle disait, que ça ne marchait pas entre elle et moi, je n’étais pas quelqu’un de bien ni elle d’ailleurs ! Je pris la blondinette par le bras, que je serré en la regardant méchamment. Je secouais la jeune femme, pour la faire réagir.

Tu n’as pas le droit de dire ça !! Tu m’entends ?!

Je lâchais mon « ex » compagne, et caressa de nouveau son doux visage avec de l’affection.

Toi et moi, c’est éternelle tu le sais bébé

.

Alors fallait pas te barrer !

C'est fini tout ça, on peut plus, on a changé, j'ai changé...

Elle allait cédait, je la connais par cœur elle veut jouer les têtes dures et me faire croire qu’elle sent tape de moi. Mais, ce n’est pas le cas, Coralie n’était pas ce genre de femme. C’est d’ailleurs, la seule et unique femme que j’ai protégé tout en la mêlant à mes histoires. Elle ment voulait d’être partie, je la comprenais car j’avais disparu dans la nature, sans qu’elle sache rien et sans même lui dire où j’étais. Mais, je ne pouvais rien dire à l’époque le réseau pouvait à tout moment, les stups n’étaient pas loin de moi. Je devais sauver ma peau, elle essayait de se séparer de moi. Mais, je ne relâchais pas, Coralie m’hurler que je n’aurais jamais dû me barrer ! J’allais répondre, quand elle s’effondrait dans mes bras. Je savais que ça aller finir comme ça, elle allait enfin laisser parler son cœur. Elle m’aime, elle voulait simplement vider son sac, je pris la jeune femme dans mes bras, caressant doucement ses cheveux. Co’ a toujours aimé ce geste, elle disait que j’avais quelque chose de spéciale. Les souvenirs devaient remonter, ses pleurs se faisaient entendre. Je relevais doucement son visage vers moi, essuyant ses larmes qui coulés sur son visage.

Je n’ai pas eu le choix, j’étais obligé.

Je parlais doucement, j’étais calme comme si rien ne s’était passé il y a quelque seconde. La blondinette s’était mise devant moi, elle disait que s’était fini tout ça. Oui, pour quelque heure le temps de ce retrouvé et de se laisser de nouveau allé. Comme la première fois, elle avait peur mais rapidement elle avait pris confiance en elle et j’étais fière de ma petite amie. Ils ne pouvaient plus, elle ne pouvait plus, sauf qu’elle venait de parler au pluriel…De qui elle parlait m’avait-elle doublait durant mon séjours ? Je posais mes sur ses épaules, je la regardais j’allais dessuite voir si elle me mentait ! Elle n’avait pas intérêt.

Vous ? Qu’est-ce que ça veut dire ? Tu m’as doublé !

Je secouais légèrement Coralie, je voulais lui faire cracher le morceau.

On a toujours le choix Chris, toi en particulier, tu l'as toujours eu.

Bien sûr que non Chris arrête !

Toi et moi, je voulais parler de toi et moi... En fait y a que moi qui ait changé, t'es plus celui qu'il me faut. Continue tes affaires, mais ne m'y mêle pas, j'ai décroché. De la dope, des soirées, tout ça c'est fini, j'ai une autre vie maintenant.

Coralie était peut-être mêler à mes trafics, elle ignorait une grosse partie de ce qu’il se préparait la veille de mon départ. J’avais dû fuir Saint-Tropez, c’était soit fuir sois finir au trou et je ne voulais pas ! Il était hors de question, que je finisse entre les barreaux. Elle disait que nous avions toujours le choix, elle ne savait pas de quoi elle parlait. Elle ignorait, selon elle j’avais toujours eu le choix, elle disait n’importe quoi ! J’ai toujours vécu ainsi, fils de bourge je mens tape ! Je ne savais rien faire à part dealer, je me faisais mon blé comme ça. Je n’avais pas besoin de mes parents, mais ce qui m’avait mis hors de moi était qu’elle avait parlé au pluriel. Ou voulait-elle en venir ? Elle avait osé me doublé après mon départ, faire des trafics dans mon dos ou me balancer aux flics. Je doutais de la deuxième solution, car Coralie ne me balancerais jamais. J’avais attrapé la jeune femme violemment, elle allait crachée le morceau quitte à être violent. Elle niait m’avoir doublé, je voulais bien la croire au moment de la lâcher je vie Co’ se tenir le poignet comme pour camouflé quelque chose.

Mon regard s’était posé sur celui-ci, j’attrapais sa main sans lui laissé le temps de réagir. « Aaron », c’était le prénom inscrit sur sa peau, un tatouage avec inscrit le prénom d’un homme. Alors, sait ça Coralie avait un autre homme dans sa vie, elle avait rangé sa vie de dealeuse et m’avait barré de sa vie ? Je ne pensais pas ça d’elle, je serré son poignet fortement d’ailleurs ça ne devais pas lui faire du bien mais j’en avais rien à foutre ! Elle disait vouloir parler d’elle et moi, elle disait avoir changé. Je n’étais plus celui qu’il lui fallait. Apparemment, cet AARON était parfait et avait changé la seule femme de ma vie. J’allais le retrouvé, avec ou sans elle. Co’ disait que je pouvais continuer mes trafics, mais elle s’était fini je pouvais l’oublier. Elle avait une vie maintenant, j’étais dans une rage folle. Je ne pus retenir mes nerfs, je mis une gifle à la blondinette.

Qui est cet Aaron ?!! Qui sait ? Tu ne peux pas m’abandonné dans ce milieu, tu le sais aussi bien que moi. Alors, tu vas me dire où je peux le trouvé ton mec !

Aïe, Chris tu me fais mal !

C'est pas mon mec putain c'est mon fils, arrête !

Je venais de frapper Coralie, c’était ainsi que je me comportais avec ce qui me désobéisse. Elle avait connu pire qu’une simple gifle, mais elle savait que je faisais ça pour qu’elle redevienne elle-même. Qu’elle arrête de dire des paroles en l’air, mais surtout je lui en voulais terriblement d’avoir trouvé un autre homme pour me remplacer. Je savais pourtant ce qu’elle éprouvait pour moi, je la serré fortement elle criait que je lui faisais mal. D’arrêter, mais je n’avais pas l’intention de stopper quoi que ce soit, tant qu’elle ne m’aura pas dit qui était cet homme et où il se trouvait. J’allais lui faire la peau, de quel droit il allait avec ma copine.

Coralie, n’avait jamais eu d’autre aventures appart moi, elle-même le disait. J’étais son seul amour, aucun homme ne mettrait le doigt sur elle. J’étais le seul homme à avoir tous les droits, la bousculer, la traitée ainsi pour la faire réagir. Si, je voyais un homme lui posé la main dessus il serait dix pieds sous terre. Elle était menu, face à moi elle ne pouvait absolument rien faire appart subir jusqu’à ce que je m’arrête. Co’ essayais de se débattre pour sortir de mes mains, mais je tenais bon jusqu’au moment où elle me saisit. Je pensais tomber, elle venait de m’annoncer qu’Aaron était son fils. Je lâchais la jeune femme, mon regard relevé vers elle. Je ne sais pas quoi penser, devais-je lui demandais si était le salop qui lui avait fait un enfant, ou bien accepté ? J’optais plus pour la première option, Coralie avait eu un enfant. C’est pour ça qu’elle avait changé, qu’elle disait vouloir arrêter et être tendu ainsi avec moi.

Ton fils ? Tu me prends pour un con Coralie, qui est le salop qui t’as fait se môme ? Je te crois pas une minute, MERDE !!!

Je m’étais rapprocher de mon interlocutrice énerver, j’essayais de reprendre mon calme. Je respirais, un bon coup, les traces de mes doigts sur le poignet de Co’ pouvait se voir. Mais, je n’y portais aucune attention ça passerait d’ici quelque temps.

Dis-moi la vérité Co’, arrête t’es conneries maintenant…

Et ben croit ce que tu veux ! Frappe, tu sais faire que ça !

Je déconne pas Chris, je déconne pas avec toi. Aaron est mon fils...

Et je t'interdis de t'en approcher.

J’avais réagis comme j’ai pu le faire il y a quelques années, elle était remontée contre moi. J’avais connu ses crises envers moi, Coralie s’était déjà emporter envers moi. Mais, elle était vite revenue vers moi dans les heures qui avaient suivis. Je ne lui laissais pas une heure, elle allait revenir je le savais parfaitement. Peu importe ce qu’elle allait me raconter, je ne laisserais pas la jeune femme. Je l’aimais, elle était ce que j’aimais le plus dans ma vie, la came, les sorties elle allait vite retrouver ce train de vie. J’avais trop manqué à Coralie, pour qu’elle m’oubli aussi rapidement. Elle disait que je pouvais faire ce que je voulais, même la frappé d’ailleurs je savais faire que ça. Elle pétait un plomb, je ne faisais pas que ça, je l’aimais et elle avait compris. Je lui avais prouvé de nombreuses fois, je posais doucement mes mains sur son visage. L’entendre dire ça, me plaisait guère elle devait arrêter d’avoir cette image de moi. Je n’étais pas violent avec elle, c’était sa faute Co’ me pousser à bout et bim ! Je ne la frappe jamais comme ça, et elle le savait aussi bien que moi.

Non, non, tu ne peux pas dire ça ! Je t’aime et tu le sais aussi bien que moi, arrête avec ses conneries. Tu ne vas pas remettre ça sur la table, ça fait trois ans.

Je caressais sa joue doucement, celle que j’avais giflée fortement. Elle ne pouvait pas me quitter, m’abandonné alors que je viens d’arriver, je lui ferais payer si elle osait faire ça ! J’avais tout fait pour elle, j’avais changé sa vie. Elle disait même, qu’elle aimait ce que nous étions. Coralie ne déconné pas, Aaron était vraiment son fils. Je voulais la croire, je ne doutais pas de ses paroles.

Ok, je veux bien te croire peu importe ! Tu resteras avec moi, comme avant Co’ tu ne peux pas m’échapper…jamais !

Les larmes ruisselées sur son visage, j’essuyais les larmes avec mon doigt pendant qu’elle me disait que je ne devais pas mens approcher. J’en étais formellement interdit ! Après ses mots, la jeune femme tournais les talons pur me fuir. Je la rattraper au vol, elle n’irait aucune part ! Je ne voulais pas la laisser partir ainsi, ne plus la revoir.

Je n’approcherais pas ton fils, mais je ne veux pas te perdre toi ! Je te retrouverais de toute façon !! Tu ne m’échapperas jamais, tu fais partie de moi.

Ca fait trois ans que tu t'es barré parce que tu refusais que je te demande la fidélité, mais moi je l'étais Chris, c'est toi qui n'a pas su jouer correctement.

T'échapper ? Chris, tu es partis, tu ne m'as sûrement pas attendu pour voir une autre fille, toi et moi c'est mort, il va falloir que tu le comprennes.

Et toi aussi tu fais parti de moi, mais j'en peux plus de cette vie là. Je t'attendrais pas tous les soirs, je ne prendrais plus de came pour te suivre dans tes délires, je ne dealerais plus pour toi... Prouve-moi que t'es quelqu'un de bien, que t'as changé, après on pourra parler de vie de couple.

Coralie me reproché d’être partie il y a trois ans, parce que je refusais qu’elle me demande la fidélité ! Mais, je n’étais qu’un idiot et je m’étais rendu compte qu’elle me manquait terriblement et que je ne pouvais vivre sans elle. C’était moi qui n’avait pas joué, elle avait raison même si je lui donné que très rarement raison. Je mis sur ses gardes la jeune femme, elle ne m’échappera jamais elle était à moi ! Coralie et Moi c’était connu, personne ne pouvait me remplacer nous étions fait pour être ensemble. Mon ex compagne, ajoutait que j’étais partie et que je n’avais sûrement pas attendu pour aller voir d’autres filles. Certes, j’avais eu d’autres femmes en Corse mais rien de sérieux ! Ce n’était que pour m’amuser, elles ne comptaient absolument pas pour moi. J’avais déjà oublié qui elles étaient, Coralie disait que s’était mort entre nous deux. Il fallait que je comprenne la situation, mais il n’y avait rien à comprendre !

Il n’y a rien à comprendre, j’ai fait des erreurs mais je me rattraperais ! Ses femmes n’étaient rien, juste pour m’éclater, tu le sais t’es la seule qui compte.

Je ne comprenais pas, pourquoi me tenait-elle tête ? Elle aurait mis fin à tout cela depuis un moment, ce môme l’avait changé ce mec qui l’avait mise en cloque ! Je n’arrivais pas à la supporter, je cherchais tous les moyens ? Elle ajoutait que je faisais partie d’elle, alors pourquoi me fuir. Mais, elle en pouvait plus de cette vie, elle ne m’attendrait pas tous les soirs. C’était terminé, le seul moyen de la reconquérir était de changer, lui prouver que je pouvais être un autre homme. Me demandais cela était impossible, je ne savais rien faire.

Je t’infligerais plus toutes mes conneries, reviens je suis revenue ici pour toi ! Tu ne peux pas me laisser, tu ne m’as peut-être pas attendu en ayant un gamin. Mais, je te lâcherais pas tu le sais tu reviendras Coralie.

Toi et moi ça marchera pas si t'en vois d'autres. Je ne suis pas la femme d'un plan cul. Je suis la femme d'un seul homme.

Pour moi ? Ou pour prendre ta revanche ?

Donne moi une bonne raison de revenir Chris, une seule, et tu auras le dernier mot.

Tu es la seule qui compte, tu le sais aussi bien que moi. J’arrêterais mes conneries avec ces femmes, tu n’aies pas une femme plan cul.

Je n’étais pas revenu en ville pour la perdre, non j’étais revenue la chercher car je l’aimais. Car, elle était la seule dans ma vie et l’unique femme que j’ai aimée. Ce fut un choc pour moi, quand j’ai croisé son regard. Je n’aurais jamais pensé que je serais dingue de cette fille, pour moi toutes les femmes étaient les mêmes, sauf que j’ai croisé Coralie. Je lui promis une chose, ne plus la mettre en galère dans mes plans, ne plus lui infliger ce que je faisais avec la came. C’était terminé, si c’est ce qu’elle voulait pour être à mes côtés. J’acceptais, je serais seul Co’ n’aura plus rien avoir avec mes trafics. Quand, j’annonçais que j’étais revenu pour elle son visage changea et me demandait si j’étais revenue pour elle, ou plutôt pour prendre ma revanche ? Disons les deux, mais ça elle ne le serait pas je ne pouvais pas lui parler de ce que je comptais faire. Mais, elle ne serait pas en danger.

Arrête avec ça, je suis revenu pour toi je n’ai aucune revanche à prendre ici.

Lui donner une bonne raison de revenir, il en fallait une seule et j’aurais le dernier mot. Je pris son visage entre mes mains, je plongeais mon regard dans le sien en caressant son visage du bout des doigts.

Retrouvé celle que j’aime, la seule femme que j’aime et pour qui je ferais n’importe quoi.

J’avais dit ses paroles doucement, mais je lui disais aussi ce qu’elle souhaitait entendre. Elle ne me là fait pas à moi, je la connais trop bien.

Aucune ? Alors explique-moi pourquoi je suis la première personne que tu croises ici ? Ne me dis pas que c'est un hasard, tu savais où me trouver.

Alors prouve-le moi... Me laisse pas...

Je peux pas rester Chris, j'ai rendez-vous pour du boulot.

Coralie venez tout le temps ici, je connaissais ses petites habitudes ici. Elle passait du temps sur le port, elle trouvait le lieu apaisant. Mais, je ne pensais pas la croiser à une heure pareil je l’imaginais plus chez elle, peut-être ivre après avoir trop bu ou après avoir tiré un pu deux rail de coke. Mais, elle avait stoppé ses conneries elle était ici pour autre chose. Son instinct lui avait peut-être dit que je serais de retour, je suis tombé sur elle par hasard comme quoi nous sommes destiné. Elle voulait savoir, pourquoi elle était la première personne que je croisais. Je n’avais pas à lui dire que s’était un hasard, car je savais précisément où la trouver.

Certes, je sais que tu viens ici mais je ne pensais pas te voir ici à une heure pareille. Je t’ai croisé par hasard, en descendant du bateau. Je pensais venir chez toi, te retrouver et tu étais là.

Elle s’était apaisé laissant ses nerfs ailleurs, plus calmes la jolie blonde me demandait de lui prouver. Prouver que je l’aimais et que j’étais sincère, ne pas la laisser. Ses mains descendaient sur mes poignets, j’entrecroisais mes mains aux siens. Nos front l’un contre l’autre, je déposais un baisé sur le haut de sa tête.

Je t’abandonnerais plus, je partirais plus en te laissant ici.

Je retrouvais la Coralie que je connaissais, celle que j’aimais mais elle devait partir. Elle avait un entretien pour du boulot, évidemment elle devait bosser. Elle devait vivre et nourrir son enfant, je devais la laisser partir on se retrouverait.

Tient, viens à la maison, appel moi et promet moi de ne pas me faire attendre.

Dis-je avec un sourire charmeur. Lui donnant mon téléphone

Chez moi ? et c'est où chez moi ? Même moi j'ai du mal à le savoir...

Je passerais.

Quelques heures plus tard...

Je comprenais ou voulait en venir Coralie, elle était perdu je le voyais. Sa réponse, je l’avais déjà entendu dans le passé. Elle-même avait dû mal à savoir ou s’était chez elle, je pouvais faire vivre la jolie blonde. Elle ainsi que son fils, comme j’ai dit je pense fou royalement que je ne suis pas le père. Je ne mettrais pas l’enfant dans la rue, je ne suis pas connu pour être paternelle mais pour elle je ferais n’importe quoi, ou presque ! Elle passerait, Co’ pris le papier entre ses doigts qu’elle serait fort avant de l’enfoncer dans sa poche. Je devais la laisser partir, je l’embrassais avant qu’elle ne me quitte. La retrouvé était quelque chose que j’avais espérais, elle avait fini par céder. Je la connaissais, ça réaction n’était pas une surprise et la voilà repartie avec moi. Il y a quelques secondes, elle disait que s’était terminé et maintenant elle ne peut m’oublier. Je quittais le port, j’avais des choses à faire durant la journée. Déjà me rendre à mon appart’, fermé depuis mon départ mes chers parents me l’avais offert. Un à moi ainsi cas ma petite sœur, le miens personne n’y venez sauf une seule femme !

J’avais pris contact avec d’anciens hommes de main, j’avais besoin de came et mes contacts qui n’étaient pas derrière les barreaux savaient que j’étais revenue. Les affaires pouvaient reprendre, je ne dirais rien à la jeune femme. Il était préférable qu’elle ne sache rien, que tout le moment les affaires reste discrètes. Je pris une dose de coke, il était 15h j’avais envoyé mon adresse à Coralie. J’entendais la sonnerie retentir, je savais que s’était-elle. Appart elle, tout le monde ignorait où je logeais, je ne voulais pas de trafics à mon domicile. J’vais le squat c’était là-bas que tout se faisait, je descendais les escaliers. Je vis la blondinette contre le mur, cigarette en main je pris la jeune femme par la taille.

Alors, comment sait passer cet entretient ?

C'était long, on doit me rappeler pour savoir si j'ai le poste. On passe à autre chose ?

Coralie avait certes changée, peut-être le fait d’avoir un enfant. Mais, elle restait toujours aussi belle et mes sentiments pour la jeune femme n’avait pas changé. Mais, je ne pouvais pas arrêter mes affaires pour elle. C’était mon seul moyen de survie dans ce monde, sans les deals que ferais-je ? Je n’ai aucun diplômes, les cours ce n’était pas pour moi autant dire je ne peux rien faire d’autre. Je gagne beaucoup d’argent, elle ne sera pas malheureuse ni même son fils s’ils venaient tous les deux à habiter chez moi. Car dis Co’ dis Aaron son fils, allais-je avoir le droit de le rencontrer ? Je ne savais pas, mais je ne pensais pas que c’était une bonne chose d’en parler. Elle répondu rapidement, c’était long l’employeur devait la rappeler si c’était bon. Ma copine ne souhaitait pas discuter de cela, préférant passer à autre chose. Ses bras autour de mon cou, je souris en coin un air charmeur qu’elle aimait chez moi. Je l’attirais dans mon appartement, je portais mes mains sous son fessier et la posa doucement sur le comptoir. Elle m’embrassait, je ne me plaignais pas bien au contraire je déposais de nombreux baisés dans son cou. Caressant son dos, sa présence me faisait du bien et j’oubliais certes chose avec Coralie avec moi.

Tu as combien de temps devant toi ?

Murmurais-je à son oreille.

Deux heures...

Avant tu savais en faire des choses en deux heures...

Deux heures, s’était le temps qu’elle avait devant elle. Nous avions alors de quoi faire, elle m’avait dit ses paroles à l’oreille tout en passant l’une de ses mains dans mes cheveux. Coralie savait parfaitement ce que j’aimais, elle n’avait absolument rien oublié de tout cela. Je venais de le remarqué, sur la façon de se comporter avec moi. Un sourire en coin, comme quoi on n’oublie jamais ! Moi-même je la connaissais par cœur, c’était si étrange comme relation disons qu’elle était unique. Les mains baladeuses de ma compagne passait sous mon tee-shirt, je pris le temps de l’allongé doucement comme toujours. Je n’étais pas brute dans ce genre de moment, ce n’était pas mon genre d’être brute pour ce genre de chose. Je suis comme elle aime, elle disait qu’avant j’en faisais des choses en deux heures. J’eux un petit rire amusé.

Alors, tu ne seras pas dessus…

Je déboutonnais sa chemise, c’était le style de Co’ un style personnel. Je déposais un baisé un niveau du cou, en descendant au niveau de son buste.

» Retrouvailles
» Besoin de se ressourcer (Pv: Coralie)